DISCOGRAPHIE


César FranckModeste Moussorgsky (1839-1881)

FUG 566
Monde de la musique Calssica Répertoire

    CD1
  1. Une Larme 4’37
  2. Impromptu passionné (Souvenir de Beltov et Liouba) 3’20
  3. Rêverie 5’52
  4. Scène de Foire (La Foire de Sorotchinsk) 4’57
  5. Au Village 5’19
    En Crimée (Ghourzouff. Notes de voyage)
  6. Capriccio (Baïdary) 4’09
  7. Ghourzouff 6’24
  8. Hopak de jeunes Ukrainiens gaillards (La Foire de Sorotchinsk) 1’57
  9. Souvenir d’enfance 4’10
  10. Niania et moi 1’34
  11. Première punition 1’42
  12. La Capricieuse 2’32
  13. La Couturière (Scherzino) 3’05
  14. Scherzo en do dièse mineur 6’06
  15. Intermezzo in modo classico (transcription: M. Moussorgsky) 14’22
  16. Jeux d’enfants-les quatre coins 4’26

    Total Time 74’38
    CD2
  1. Une Nuit sur le mont Chauve 15’27
    (arrangement Nicolaï Rimski-Korsakov – transcription Konstantin Tchernov)
  2. Méditation (Feuillet d’album) 6’42
    Tableaux d’une exposition
  3. Promenade 1’40
  4. Gnomus 3’05
  5. Promenade 1’04
  6. Il vecchio castello 5’16
  7. Promenade 0’29
  8. Tuileries (Dispute d’enfants après jeux) 1’19
  9. Bydlo 4’04
  10. Promenade 0’53
  11. Ballet des poussins dans leurs coques 1’22
  12. Deux juifs l’un riche et l’autre pauvre 2’36
    Samuel Goldenberg et Schmuyle
  13. Promenade 1’30
  14. Limoges. Le marché (La grande nouvelle) 2’37
  15. Catacombae. Sepulcrum romanum 2’37
  16. Promenade 2’26
  17. La cabane sur des pattes de poule (Baba Yaga) 3’44
  18. La grande porte dans la capitale de Kiev 6’16

    Total Time 62’04

POUR :
Si les Tableaux sont souvent enregistrés, ils sont plus rarement interprétés d’une façon qui en respecte le côté narratif, d’apparence toute simple, finissant par s’élargir jusqu’à une vision quasi cosmique de l’éternel russe… C’est très réussi, les atmosphères sont justes, les semblants d’hésitation admirablement rendus ; une progression inexorable conduit à La Grande Porte de Kiev, qui ne se transforme pas en finale de concours de piano mais renforce, par sa lenteur tenue, le caractère sombre d’une interprétation organique et personnelle…
Diapason

CONTRE :
Chaque Tableau semble dissocié des autres. Pourquoi avoir opté pour une lecture résolument monumentale alors que le son est retenu par de si nombreux accents maniérés ? Pourquoi avoir voulu ne rien laisser dans l’ombre et décortiquer avec tant de raideur chaque phrase ?... Les Promenades minaudent, Il vecchio castello devient sirupeux, le son de Gnomus est écrasé… L’absence de projection du son et une impression de lecture essoufflée se retrouvent dans La Nuit sur le Mont Chauve… Fallait-il restituer de la sorte l’âpreté et la sauvagerie de l’écriture de Moussorgski ?
Classica

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