DISCOGRAPHIE

Domenico Scarlatti (1685-1757)
PIANO SONATAS

1. K12 in G minor - 3’20
2. K144 in G Major: Cantabile - 5’26
3. K99 in C minor: Allegro - 5’12
4. K441 in B flat Major: Allegro - 4’10
5. K373 in B flatMajor: Presto e fugato - 2’18
6. K32 in D minor: Aria - 3’09
7. K43 in G minor: Allegro assai - 2’46
8. K202 in B flatMajor: Allegro - Moderato - Vivo - 3’47
9. K40 in C minor: Minuetto moderato - 2’20
10. K225 in C Major: Allegro - 4’54
11. K8 in G minor: Allegro - 5’27
12. K70 in B flat Major - 2’21
13. K95 in C Major - 2’33
14. K56 in C minor: Con spirito - 3’40
15. K244 in B major : Allegro - 5’04
16. K83 in A major - 4’29
17. K25 in F sharp minor: Allegro - 3’37
18. K69 in F minor - 5’25
19. K85 in F Major - 1’14
20. K59 in F Major: Allegro - 3’31
    
    Total Time      62’00

Has Alice Ader ever made a poor recording? I strongly doubt it. She's an exceptional artist… One of the more satisfying aspects of these performances is the way that she varies the repeats, not by ornamenting the music differently, but by altering dynamics and accents, and in particular letting her piano shine without compromising the music's clarity or precision. It's really quite marvelous, and extremely well engineered. This is an absolutely delicious release.
Classics Today USA, 2011

Pianiste hors catégorie… Elle a choisi vingt sonates représentatives de l’art infiniment varié du compositeur, s’en est emparée et les a ordonnées comme un tout. Sa forte personnalité, son aisance technique et sa liberté confèrent à chaque sonate une rare plénitude tout en créant l’appel de la suivante et si les sonates lentes, conçues sur le mode méditatif, manquent parfois de soutien, les sonates rapides (dont la K. 12 d’ouverture) ou plus contrapuntiques (K. 244) trouvent ici une version jubilatoire.
La Libre, 2011 (Belgique)

Les tenants du clavecin à tout prix en seront pour leurs frais : jouées au piano par une musicienne aussi fine et intelligente qu’Alice Ader, ces sonates respirent avec la même ampleur qu’au clavecin et le doigté pianistique ne manque jamais ici ni de distinction ni de subtilités.
Valeurs Actuelles, 2010

Si au début on se dit qu'il y a comme un détachement, malgré la beauté des plages 3 et 8, (Sonates K 99 et 202), on est gagné petit à petit par l'euphorie, la vraie force intérieure. De la 13e plage à la 20e, et surtout dans le trio des Sonates K. 95, 56, 244, on se rend à l'évidence que ce soleil musical rayonnant et plombant nous vaut un disque exigeant et sublime.
Classics Today France, 2010