Le mystère de l'inspiration de César Franck est d'allier la grandeur à l'humilité, ce qu'a admirablement compris la pianiste. Le Choral témoigne de la pureté d'un jeu qui s'abstient de toute démonstration, quant à la Fugue, c'est un modèle de clarté. Les mêmes qualités se retrouvent dans le Quintette.
Le Monde de la Musique, Septembre 2005

Quel engagement, quelle puissance ! Mais quelle poésie aussi. Ici, les contours sont nets, les harmonies pures, la polyphonie claire. Transparence oui ; mais diablement personnelle...
Classica Répertoire, Septembre 2005

Quiconque connaît les enregistrements d'Alice Ader sait déjà combien cette musicienne est perceptive...
C'est avec une ligne sonore exceptionnellement claire et un sens infaillible du déroulement musical que ces deux fugues sont naturellement construites, avec évidence, du début jusqu'à la fin... Le toucher est tout simplement magique... Merveilleux !
David Hurwitz, Classics Today, Octobre 2006